dans l’amoncellement des charges d’or sur les triperies occultes où naguère flottait ce bonheur qui était par trois fois chargé de méfaits sournois prendre sur cet espace la quantité de l’amour nécessaire comme ce prunier au jour où on a ouvert mon esprit pour en faire ce que je voulais travailler du fond de mes brumes lointaines exaucé des choses banales des chutes ouvert comme une âme d’espérance j’ai exalté ce plaisir nouveau pour t’en laisser savourer le fruit j’ai souhaité tant de fois cet espace mais abolis ce que tu crois pour nous sache que les complaintes des cerveaux ne sont que malédictions ignorées fermées par des tabous malheureux je t’en prie viens voir tu comprendras ce qui fut dans une artère méconnue l’abolition de cet astre personnel