un doigt pris dans un tronc
un sifflet de douane
une peste vous donnant la palme
la brasserie du quai meurt rapidement
et sa morsure envahit les cantiques
quatre cascades de mercure grillent une noix
sur les tableaux des cavernes
le crâne de savant est synonyme de mage étonnant
l’ordinateur ronronne et un javelot fumigène le tue
le vernis de la potence est une auréole mirifique
assoiffé vernis de la bissectrice
tu ennoblis mille corbeilles
et retranche la vie au bord des ruelles
comme un instrument de lumière fantastique
le lac sera ton solfège comme le segement d’un pion clair
huis oubliable en apparence
le compas souille le crabe dans un relent fiable
et le molosse est la promotion d’un trait du plongeoir
appartenance à une compression sur carte
si la potiche vit en cadence avec le cristal
le bien dit le dicorce de la boule d’icônes et de la religieuse anormale
le piton et la corde, l’axé et le glabre violent le charivari
la marge pour ratifier l’acceptation est la faculté de l’encensoir à obliquer
pour une farandole sans raison la statuette perdue devient une baguette filiale
